Le jour où tout à basculé...

Natasha Romanoff VS Clinton Francis Barton...


La bataille contre Loki venait d'expirer... Plusieurs heures c'étaient écoulées depuis l'affrontement assez perturbant... Nous, les "Avengers", nous nous étions donné rendez-vous dans le salon de notre manoir. Presque tous mangeaient avec appétit mais pas moi... Je ne sentais plus mes membres, j'avais l'impression que mon coeur allait me lâcher d'un coup brusque et que tout serait finit... J'était contente que cette bataille fut terminée mais un doute restais au fond de moi... Loki allait-il vraiment rester à Asgard et ne pas faire sa vengeance ? J'en doutais fortement... Plongée dans mes pensée je n'écoutais même plus les autres... Tout à coup une main se posa sur mon épaule et une voix familière prit la parole...

"Ca va Natasha ?" dit Clint qui était assis juste à côté de moi...

Je me retourna lentement et lui adressa un doux sourire avant de répondre à sa question... Clint tient beaucoup pour moi et je n'avais pas supportée qu'il soit sous le contrôle de Loki... Je le vengerais, c'est promis... J'ai marquée cette promesse au fer rouge dans ma mémoire juste à côté de la première qui ne partira jamais...

"Oui, mieux que tout à l'heure..." Dis-je en lui souriant joyeusement.

Sa présence me réconfortais avec lui je me sentais bien... Malgré cela je n'ose pas lui avouer mes sentiments... A vrai dire, je ne sais pas si je l'aime en amour ou seulement en ami ce qui est un peu dérangeant... Son regard, son sourire, sa présence... Je ne pourrais jamais me passer de lui... J'ai beaucoup de sentiments pour Clint mais j'en ai aussi pour Tony... Ils ont tout les deux ce petit "quelque chose" que l'on ne peut pas décrire qui me fait craquer...

Journée stressante. Nuit agitée. Semaine difficile. C’était des mots simples qui décrivaient parfaitement ce qui c’était passé. Tout d’abord, il y avait eu cette mission spéciale que l’on m’avait confiée. Surveillez était l’un de mes points fort étant donner que je possédais un grand sens de l’observation mais j’avais cependant une préférence pour les missions dangereuse, là où je pouvais aider réellement des gens dans le besoin. Enfin, j’avais pour ordre de surveiller et c’était ce que j’avais fait, j’avais, surveillé. La salle était assez plongée dans le noir, les seules lumières provenaient des ordinateurs et autres machines électroniques enclencher. L’être ou plutôt la chose que je surveillais. Un cube transparent émettant de drôle de couleur bleutée. Ce dernier avait un nom ; le Tesseract. Des scientifiques l’avaient trouvés lors d’une de leurs nombreuses recherches et il avait été mis en observation pour cause de nom identification. Je n’avais encore jamais eu l’occasion de l’observer de près. Dès que j’esquissais un pas vers lui, le personnel présent dans la pièce – principalement composer de scientifique – m’interdisait de m’approcher d’avantages, trouvant cela bien trop dangereux. Je n’avais même pas cherché à les contredire, j’étais très facile à vivre à vrai dire. J’étais remonté sur mon perchoir et avait continué à observer. Observer quelque chose qui ne bougeait pas sans rien faire était quelque peu ennuyeux c’est vrai mais je prenais à cœur la mission et gardais l’œil ouvert. Sauf qu’un soir, il émit une fréquence beaucoup plus forte que les précédentes. La zone avait été évacuée par les citoyens et Monsieur Fury était venu voir ce qui se passait avec le Tesseract. Mais personnes n’y avaient touchés ni même n’était sortie. Cela ne venait pas de notre côté, cela venait de l’extérieur. Oui, je me souviens parfaitement. C’était angoissant de ne pas savoir ce qui allait se passer. Il aurait pus exploser d’un seul coup et nous avec. Mais ce ne fut pas ce qui se passa. Un être en sortie. J’avais crus au début que le Tesseract était en réalité un moyen de transport comme Thor utilisait mais c’était bien plus compliqué que cela. Cet être n’était pas humain. Il n’avait rien d’humain sauf l’apparence mais il ne fallait pas du tout ce fier à cela. C’était un extraterrestre. Il se nommait Loki et venait apparemment d’une planète nommé Asgard. Ce Loki avait étudié la race humaine et avait appris à parler sa langue pour pouvoir communiquer avec. Mais la race humaine n’aime pas ce qu’elle ne peut expliquer scientifiquement. Elle avait peur de l’inconnu. Et les hommes armés présent dans la salle se mirent à lui tirer dessus. Je vus alors avec quelle facilité il avait à éliminer les hommes. C’était comme d’écraser une fourmi pour nous. Si simple …

Comprenant que la zone et la vie de mes coéquipiers étaient en danger, je pris leurs défenses mais il fut tout aussi simple à cet argadien de me priver de mon arme et de m’immobiliser. Ensuite, j’étais simplement une de ses personnes qui se trouvent au mauvais endroit au mauvais moment. La suite des événements reste très floue pour moi. J’entends un coup de feu et ensuite plus rien. J’appris plus tard que c’était moi qui venait de tirer mais sur Nick Fury et non sur Loki. J’étais passé au camp ennemi. Cela est une des rares blessures qui ne guérira jamais et que je ne voudrais jamais rouvrir. Quand je retrouvais la totalité de mes esprits, j’appris que j’avais attaqué mon équipe ainsi qu’aidé à libérer Loki. Mais pas que. Nous étions en guerre. En guerre contre l’inconnu, contre un dieu. J’aimais particulièrement les défis et tous ensembles nous nous battirent contre l’ennemi. Les soldats que nous devions combattre était particulier, se promenant sur de drôle engin volant. J’avais vite trouvé un immeuble et me débarrassais du plus d’ennemis que je pouvais. Je ne pus me venger de ce que m’avait fait Loki. Quand je fus à court de flèches, je trouvais divers façon original de me service de mon art et des objets qui m’entourais. Alors que d’un seul coup, une voix familière et masculine se mit à me souffler des ordres dans le crâne, ce fut à nouveau le troue noir. Bien sûr, cela, personne ne le sait. Je m’étais simplement dis que je m’étais évanouis, n’ayant pas beaucoup dormis et manger ses derniers temps. J’appris que Loki c’était retiré et qu’en quelques sortes nous avions gagné la guerre mais qu’elle n’était cependant pas terminée. Beaucoup de citoyens et de bien immobilier et autres avaient été tuer et détruit. C’était un champ d’après guerre et j’avais donné mon aide pour donner un coup de main pour les réparations qui se passeraient bientôt. J’étais en quelque sorte fautive de cela et je devais réparer mon erreur.

Mais pendant cette tuerie je m’étais rendu compte de quelque chose d’important. Mon métier était dangereux, je pouvais perdre la vie à n’importe quel moment et sans mettre libérer d’un secret qui commençait doucement à me détruire de l’intérieur. Et je m’étais rendu compte qu’il fallait que je me libère de ce secret pour ensuite si je devrais mourir lors de l’une de mes missions, partis sans remords ni regrets. J’avais pris ma décision. Je lui dirais et qu’importe sa réponse, je partirais heureux. Enfin, j’avais tout de même douté. Même si elle était la première personne qui était aussi proche de moi, je ne pouvais m’empêcher de me demander s’il n’y avait pas que de l’amitié derrière cela. Si la lueur de tendresse dans ses yeux lorsqu’elle les plongeaient dans les miens, je ne l’identifiais mal ou ne la comprenait pas. Elle ne m’était peut être pas adresser cette tendresse, elle était peut être réserver à un autre. Même si j’avais des doutes, j’étais sur d’une chose ; je l’aimais. Je pouvais bien le cacher, faire semblant d’être indiffèrent à ses caresses innocentes et son parfum enivrant, je l’aimais. C’était la première fois que cela m’arrivait. Je croyais que l’amour n’était pas pour un meurtrier comme moi, que j’étais bien trop dangereux ou discret pour me faire remarquer par une fille mais quand je l’ai rencontré, j’ai compris que non. Même des gens comme moi ; même des gens odieux ; même des gens pauvres pouvaient trouver l’amour un jour. C’est un sentiment vraiment magique. J’ai l’impression que je renais près d’elle, que malgré toutes mes erreurs dans mon passé, mes souffrances, je pouvais être enfin heureux rien qu’une fois dans ma vie. C’était peut être un sentiment qui tournait ensuite à l’horreur dès que son absence me déchirait le cœur, mais c’était un sentiment que je voudrais garder toute ma vie. Je n’ai jamais eu l’amour de mes parents, je ne l’es ai même jamais réellement connu, j’ai toujours eu de l’indifférence et du mépris auprès des adultes à mon égard, je ne connaissais pas le mot aimer ni même sa définition. Pourtant, grâce à elle, j’ai pus le découvrir un petit peu chaque jour jusqu’à enfin être capable de mettre une définition dessus.

Je l’observais en silence. J’étais fasciné par la façon dont les rayons du soleil avaient de refléter sur ses cheveux roux. Lorsque ses derniers dansaient au grès du vent, cela était merveilleux. Le roux se mettait à se différencier en plusieurs teints. On avait l’impression que chacune de ses mèches étaient une couleur unique qui tournait autour du roux. Et je m’étais mis à donner des noms de teinte à chacune de ses couleurs. D’habitude, je l’observais sans dire un mot, comme là sauf qu’elle finissait par se tourner vers moi et me demandait s’il ça allait. Je répondais toujours oui, même si certaines fois, cela pouvait aller mieux. Mais aujourd’hui, elle semblait absorber par une réflexion. Je me doutais que c’était en rapport avec ce qui venait de se passer contre Loki. Et je le comprenais parfaitement. Il c’était passer quelque chose d’étrange car Thor était en train d’observer son frère pour chercher un moyen de le faire revenir sur sa décision. Et pourtant, Loki c’était échappé. Il c’était volatiliser alors qu’il était en mauvaise posture. On était à deux doigts de l’avoir et cela en faisait enrager plus d’un. Mais je ne pouvais pas penser à Loki et à l’endroit où il pouvait être bien longtemps, car maintenant était le moment où je devais lui dire et me libéré de ce secret qui pèse trop sur mes épaules et sur mon cœur. Mais je ne devais en aucun cas lui balancer et ensuite partir. Ce n’était pas mon genre et ce n’était pas ce que j’allais faire. C’était la première fois que cela m’arrivait et cela me stressait un peu. Mais heureusement, Natasha ne s’en rendait pas compte. Je lui demandais comment ça allait, la voyait dans une mauvaise posture mais elle m’affirma le contraire en m’offrant un joyeux sourire. Je n’en crus pas un mot mais ne fis comme si de rien n’était. Je la connaissais aussi bien qu’elle me connaissait, malgré qu’elle ne connaisse pas mon passé alors que je connaissais les siens, nous étions très proches l’un de l’autre et nous en étions arrivé à un stade où nous pouvions deviner quand l’un était malade ou que l’autre mentait. Je réajustais ma position à côté d’elle et tournis mon regard vers cette dernière.

- Cette mission n’est pas finie Tasha, le but premier n’a pas été accompli. Même si nous avions échoué une fois, cela ne veut pas dire que nous n’arriverons pas à le coincer.

Je m’arrêtais un instant. Je voulais tout d’abord lui enlever tout doute avant de lui déclarer mon amour à son égard.

- Il peut être le dieu de la ruse ou de l’agriculture, il n’est pas aussi rusé que nous tous rassembler. Il n’a aucune chance face à nous alors ne te prend pas la tête. Cela n’est qu’une question de temps à présent …

Baissant la voix, je lui offris un de mes rares sourire rassurant. C’était la seule qui avait le droit et l’autorisation de pouvoir voir mes sourires, voir ma véritable identité. Car face aux autres, même mes quelques amis, je me montrais comme l’Agent Barton et nom comme Clinton, l’adulte au dur passé. C’était peut être idiot ou complètement mais je m’en fichais. J’avais compris que face à mes coéquipiers ou même à mes ennemis, je ne devais pas me montrer faible. Je ne voulais pas de leur pitié. La pitié que je lisais dans les yeux des gens auquel j’ai raconté mon histoire m’était insupportable. C’était un sentiment que je ne voulais plus voir, que je détestais voir. C’était pour cela que je ne devais pas leurs raconter, que je devais me montrer fort même si à cet instant, j’avais besoin d’aide. J’avais besoin de l’aide de mes parents. S’ils ne m’avaient pas abandonner, alors j’aurais eu mon premier amour au collège et ils m’auraient guidé pour lui déclarer ma flamme. J’aurais pris des râteaux, des claques. J’aurais appris de mes erreurs sentimentales pour pouvoir trouver la façon ; ma façon de leurs dire. Mais au lieu de cela, je me retrouve seul face à une femme, la première que j’aime et la dernière que j’aimerais …

J'avais une horrible migraine... L'envi de vomir, mal au ventre, courbatures et surtout, j'était inquiète... Inquiète pour Clint, inquiète pour les Avengers et surtout inquiète pour Loki... Si ce Dieu revenait, je ne sais pas si j'arriverais à lui faire face à nouveau... Maintenant je savais où il pouvait aller et aucune prison ne pourrait lui résister... Malgré tout nous resterons unis et ensemble, on est plus fort que seul...

Après tout ces sentiments et douleur je ne voix vraiment pas pourquoi j'avais dit que j'allais bien à Clint... Lui et moi nous nous connaissons depuis longtemps et je le savais, si je ne me sentais pas bien ou que j'avais une chose différente en moi... Il le savait. J'avais beau lui mentir il le sentait à chaque fois. C'es aussi comme ça qu'elle avait senti que Clint était sous l'emprise de Loki... Cette lueur bleutée l'avait trahis. Cependant la rousse aimait secrètement Clint. Son penchait sur lui et sur personne d'autre... Sa présence la faisait sourire mais l'espionne lui avait toujours caché ses sentiments et le faucon n'avait toujours pas aperçut que la rousse lui cachait quelque chose.

Je regarda alors Clint ne laissant trahir aucune appréhension dans mon regard.

- Cette mission n’est pas finie Tasha, le but premier n’a pas été accompli. Même si nous avions échoué une fois, cela ne veut pas dire que nous n’arriverons pas à le coincer.

Un silence fut établie pendant quelque seconde et j'en profita pour baisser le regard et me mettre à regarder mes jambes.

- Il peut être le dieu de la ruse ou de l’agriculture, il n’est pas aussi rusé que nous tous rassembler. Il n’a aucune chance face à nous alors ne te prend pas la tête. Cela n’est qu’une question de temps à présent …

C'est vrai... Clint avait raison. Rien ne pourrait les arrêter, eux, les Vengeurs... Appart la mort. Rassurée par son doux regard réconfortant, je lui sourit alors pour lui faire comprendre que j'étais à présent rassurée et que je lui faisait confiance.

"Tu as raison Clint... Il est un contre nous tous après tout..."