Sujet: LOU † « la vie est une guerre sans fin. » Sam 2 Fév - 18:03
«"Lou"-Lana Briséis Applebum»
pv scénario inventé(e)
feat. barbara palvin.
about you
SURNOM ㄨ Lou. SITUATION ㄨ Célibataire. ÂGE ㄨ 19 ans. NATIONALITÉ ㄨ Française & américaine. DATE DE NAISSANCE ㄨ 01/12/1993. RACE ㄨ Mutante. IDENTITÉ SECRÈTE ㄨ nop'. CRÉDIT ㄨenvol bleu pour le gif, nelliel' pour le vava.
Your story
« C'est quoi ce bordel ?! » dit un jour une femme blonde, belle, mais pourtant affolée et plutôt en colère. Sur ses mots, elle alla voir celui avec qui elle vivait, furieuse. « On a problème. » Cette femme était enceinte depuis maintenant deux mois. C'était le début de son grand, grand, grand amour. Ils avaient couché ensemble qu'une seule fois, et du coup, elle n'avait pas pris de pilule, et cette seule fois suffit à la mettre enceinte. Il y avait une chance sur dix que la capot' craque, et malheureusement, elle n'avait pas eue de chance. Tout ce qu'elle voulait, c'était vivre une relation amoureuse, sans mariage, sans enfant, juste elle et lui, pour la vie. Cela ne se passa pas comme prévu. L'homme qui était en face d'elle comprit vite de quoi elle parlait, et il s'énerva à son tour. Et tout en lui criant dessus, il prit ses affaires, et s'en alla à jamais. Le coeur brisé, la jeune femme se laissa tomber au sol. Elle pensait avoir trouvé le bon pour cette fois, elle en était presque sûre, mais elle s'était trompé. Cette femme, c'était ma mère. Neuf mois plus tard, elle se retrouvait dans un lit d'hôpital, avec un joli petit bébé dans les bras. Un bébé qu'elle voulait appeler Kim pensant que c'était un garçon. Mais le fait que ce petit ange soit une fille ne la dérangea pas. Alors elle appela cette petite chose Lana. Et ainsi je vins au monde. « Elle est magnifique. » Je n'étais qu'une petite chose insignifiante, mais pas aux yeux de ma mère. J'étais son trésor, j'étais sa vie. Bien vite, ma mère se remit avec quelqu'un d'autre, et celui-ci semblait être le bon. Elle était heureuse comme jamais, et on était bien, à trois. Bien vite, je le considéra comme mon père. Tout deux m'apprirent vite que le vrai bonheur n'était pas d'avoir le dernier jouet sortit, ou le dernier vêtement à la mode, mais que c'était un repas en famille, devant la télé. Le bonheur régnait dans notre petite famille reconstruite. J'étais leur princesse, ils étaient mes rois.
Ma vie se déroulait lentement, paisiblement. J'étais à présent en primaire et j'étais assez bon élève. J'étais une fille assez chipie, que tout le monde appréciait car je ne me prenais pas la tête. J'avais beau être qu'une petite fille, j'avais déjà un caractère pas facile. Bien sûr, je savais profiter de la vie. Je ne faisais que rire et m'amuser. D'ailleurs, déjà beaucoup de garçons étaient attiré par moi à cause de mon physique avantageux. Je n'aimais pas ça. Ils ne connaissaient rien de moi et du jour au lendemain ils me disaient : « Tu veux être mon amoureuse ? » Alors je leur répondait non. Et ils s'en allaient en haussant les épaules. En primaire, j'étais un peu celle dont tout le monde suivait. J'étais l'exemple en gros. J'avais de bonnes notes, j'étais intelligente, j'avais un caractère d'acier, j'étais jolie, et j'avais beaucoup d'amies. Moi tout ça, je m'en foutais royalement. Je ne me manifestais pas, pas encore. J'étais une fille sage qui rapportait des copies avec des 20/20, des 10/10. Mes parents étaient fiers de moi, et chaque fin de trimestre on allait faire ce que je voulais pendant une journée. Bien souvent nous allions au parc, ou alors on allait visiter un zoo. Globalement, j'avais une enfance merveilleuse. C'était presque le paradis sur terre. Et puis il y eut ce jour. Nous étions en voiture, tout les trois, pour aller à disneyland. J'étais tellement heureuse. Cette nouvelle m'énervait tellement que dans la voiture je n'arrêtais pas de m'agiter. Et puis pendant l'instant de cinq secondes, mon beau-père se retourna pour me dire de ma calmer, et ma mère n'eut le temps que de crier : « Attention ! » que la voiture se fracassa contre une autre. Suite à cela, notre petite twingo se mit à dériver dangereusement sur la droite jusqu'à tomber dans un petite fossé. Je fut épargnée, mon beau-père aussi. Mais ma mère s'en était moins sortit. On dit toujours que la place du passager est mortelle, cette rumeur n'était pas fausse. Ma mère décéda ce jour même, par ma faute, pour avoir été trop énervée. C'est aussi ce jour que mon pouvoir montra le bout de son nez. Prise de panique, je m'énerva, et je me mis à crier, et lorsque je me réfugia sur mon lit, une boule de feu sortit de ma main et brûla celui-ci.
Il me fallut beaucoup de temps pour m'en remettre. J'allais à présent vivre avec Tony, mon beau-père. Ma mère était une femme au grand coeur, et sa perte fit pleurer beaucoup de personnes. Elle avait beau être un peu farfelue et fofolle, elle avait un coeur en or. Elle savait réconforter les gens, et elle trouvait toujours les mots pour nous aider à aller de l'avant quand ça allait mal. J'étais sa vie, son soleil. J'avais illuminé ses jours les plus sombre, et je lui avait rendu le sourire quand elle pleurait. Mais je l'avais aussi tuée. On pouvait me répéter autant de fois que ce n'était pas de ma faute j'en étais persuadée que si. Ma vie au collège fut triste et monotone. Je n'utilisais pas mes pouvoirs. Personne à part moi et Tony ne connaissait leurs existence. J'avais besoin de ma mère mais elle n'était pas là. Je ne pouvais pas me confier à Tony, car il n'était pas mon père, et que ce serait dur pour moi de lui dire tout ce que j'avais sur le coeur. J'étais assez distante de lui mais pourtant il était toujours là quand j'avais besoin de lui. Lorsque j'avais des crises d'angoisses, il me prenait dans ses bras et ne disait rien pour ne pas aggraver les choses, quand je pleurais, il me réconfortais. Il me respectais et je faisais de même. Il fut là à chaque journée importante de ma vie. Il aurait pu déménager et me laisser en plan, mais il préféra rester à mes côtés. Je voyais dans ses yeux qu'il rêvait de recommencer sa vie à zéro, mais je n'osais pas me séparer de lui. J'étais donc égoïste, et même si je m'en rendais compte, je ne le voyais pas partir. Et puis au fur et à mesure que je grandissais, je me raisonna. Je lui proposa alors de tout recommencer à zéro, ensemble. Alors on quitta Paris le jour de mes 14 ans pour s'installer à New York, à deux. « Tony, tu as toujours été mon père à mes yeux, merci. » Ces paroles, ils les méritait. Il avait toujours été là pour moi, même après le décès de ma mère.
Les secondes, les heures, les jours, les années passèrent. Je me fit beaucoup d'amis depuis mon aménagement à New York. Au lycée, je faisais partie des populaires, mais je trouvais ça complètement absurde, comme en primaire. Seulement cette fois, je le faisais remarquer. Dès que les populaires cheerleaders sans cervelles venaient me voir, je les repoussais. Pourquoi être jugé par rapport à son apparence. Moi c'était pas ce que je voulais. Je voulais que l'on me voit comme une fille simple, heureuse, rigolote, qui ne se prend pas la tête. Après on inventa pleins de rumeurs à mon sujet que je ne prenais pas au sérieux. J'avais tout de même de bons amis. Principalement des gars, mais aussi des filles. Et puis il y eut ce jour, assez particulier, où un gars s'énerva contre un autre gars qui m'avait traité de prostituée. Personnellement, je m'en foutais. Je regardais le garçon faire sans pouvoir m'interposer. Je ne voulais pas que l'on se batte pour moi, mais là, je ne pouvais pas faire grand chose. Mais prise de panique j'utilisa mon pouvoir pour brûler la veste du gars qui m'avait agressé, mais au lieu de cela c'est de l'eau qui sortit de la paume de ma main. Cela aurait put être qu'un épisode de ma vie. Le gars voulu avoir des explications, et je lui répondis simplement qu'en fait, c'était un gars qui l'avait arrosé. Et du coup, il se tira pour trouver celui qui avait fait ça. Je ne foutais pas grand chose au lycée, et du coup je me secoua un peu. Je ne voulais pas passer toute ma vie au lycée, du coup je me mis à bosser. Comme je n'avais pas de difficultés scolaire et que j'avais au contraire des facilités, j'arriva à passer mon bac tout de même. Après cela, je décida donc de quitter Tony pour le laisser vivre sa vie tranquillement. « J't'oublierais pas, papa. » Voici les derniers mots que je lui prononça. Il s'en alla, et moi aussi. J'entendis parler des mutants, et je devina que j'en étais une. Alors j'entra dans l'institut Xavier.
Your character
D'apparence, Lana pourrait se faire passer pour une fille frêle, timide et fragile, mais au fond, elle n'est pas du tout comme cela. La belle, malgré ses airs de petite poupée, est rebelle et très impulsive. Elle s'énerve vite, et elle est assez susceptible. Elle a un caractère tout de même assez particulier qui change en fonction de son humeur. Lorsqu'elle est heureuse, bien dans sa peau, elle peut se montrer très attachante et très aimable, mais lorsqu'elle est énervée ou de mauvaise humeur, elle devient invivable. Il lui arrive parfois qu'elle ait des crises d'angoisses et dans ces moments, elle se met à pleurer en abondance. Lou a également un physique très attrayant. Elle n'est ni trop maigre, ni trop grosses, juste bien. Sa démarche est très élégante. Même sans maquillage la jeune fille est resplendissante. Elle se serre souvent de son charme pour arriver à ses fins.
Your super power
Pyrokinésie : Lou possède le contrôle du feu. Elle a le don de le créer et de le contrôler. Ainsi elle peut le faire grandir, le diminuer et l'éteindre. Le feu qu'elle créée peut prendre n'importe quelle forme. Elle peut contrôler aussi un feu déjà existant. Cela dit, elle ne peut pas trop abuser de son pouvoir car elle risque de s'épuiser bien vite.
Hydrokinésie : Lou possède aussi le don de contrôler l'eau. Comme pour le feu, elle a le pouvoir de l'augmenter, la diminuer, la faire changer de forme etc... Par contre, comme pour le feu, utiliser son don l'épuise vite. Elle peut s'en servir avec modération sous risque de s'évanouir.
And you ?
Tout l'monde me connait, pff. Bah moi c'est la 'tite souris hein. J'suis le DC de Natasha Romanoff, votre administratrice adorée que vous aimez tant. /PAN/ Moi j'aime les bananes, le chocolat, le fromage, mais surtout je vous aime vous, et je ne peux vivre sans notre fonda', et le staff de choc qui m'entoure. Hein on 'tite sadique number one ? Bon, sinon le code du règlement, c'est loki is out here.
Sujet: Re: LOU † « la vie est une guerre sans fin. » Lun 4 Fév - 9:30
Hey!! j'aime beaucoup le personnage, et le vava est tout mimi
Un truc qui me dérange c'est au niveau des pouvoirs, l'eau est le feu c'est un peu trop opposer quand même. Les mutants on des pouvoirs complémentaires.
Sujet: Re: LOU † « la vie est une guerre sans fin. » Lun 4 Fév - 18:23
Ouais, Barbie est trop... Hum, voilà quoi. Bah ça se fini en "inésie" /PAN/ Comme c'est le contrôle de deux énergies, je pensais que ça pourrait aller.
Sujet: Re: LOU † « la vie est une guerre sans fin. » Mar 5 Fév - 9:40
Oui tout fait le contrôle de deux énergie totalement opposer. Par exemple jean est télépathe et télékinésie, deux énergie de l'esprit. Avec le feu, tu peut avoir donc la pyrokinésie, la Thermokinésie ou bien la pyropathie ( comme John qui contrôle le feu mai le créer pas). pour l'eau il y a bien hydrokinésie ( qui est le contrôle de l'eau liquide), l'aquakinésie ( le contrôle de toute ses forme) et la cryokinésie.
avec ses pouvoirs là il y a aussi souvent des spécificité physiques, par exemple toujours John il ne peut pas se brûler au contact du feu et Bobby je crains pas les température négative (genre se trimbaler en short à -20). Tu a vraiment beaucoup de choix pour chaque éléments
Sujet: Re: LOU † « la vie est une guerre sans fin. » Mer 6 Fév - 14:38
Okay, le feu. Donc comme je t'ai dit tu à les trois que je t'ai proposer. Tu peut aussi avoir la résistant au feu, à la chaleur ou même contrôler ta température corporelle ( très pratique pour passer pour mort XD).
Sujet: Re: LOU † « la vie est une guerre sans fin. » Mer 6 Fév - 15:14
Hinhin, pas mal. Mais j'arrive toujours pas à me décider. /PAN/ J'crois que je vais prendre la capacité de résister aux grandes chaleurs. Ca peut être utile aussi.